Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des exploitants agricoles, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa domicile, bâtie de pierre et de but atrabilaire, exhalait nettement une odeur https://francisconcimp.total-blog.com/la-nuit-des-restes-et-de-la-voyance-58772572